Un ambassadeur pas comme les autres

Il n’a pas été casté. Il est apparu, comme une évidence.
Monsieur Monsieur n’a pas besoin de se présenter : il est de ceux qu’on reconnaît tout de suite.
Peut-être pour sa silhouette un peu rêveuse, peut-être pour son regard toujours en mouvement.

Il n’est pas pressé. Il n’est pas cool non plus. Il est mieux que ça, il est libre.
Flâneur invétéré, amateur de glaces, de cartes postales et de musées où l’on se sent tout petit, il aime Paris, les forêts, les films muets et les gens discrets.
Il observe le monde avec une curiosité tendre. Il rit, siffle, dessine, se perd, contemple, rêve. Il est toujours un peu ailleurs, mais jamais absent.

Monsieur Monsieur n’a rien d’un ambassadeur au sens classique.
Pas de discours formaté ni de selfie de circonstance, il est là, simplement.
Dans les gestes, dans les silences, dans les détours.
Il incarne une certaine manière d’être au monde, avec douceur, humour et élégance.
Il n’a pas besoin d’en faire trop.
Il fait juste ce qu’il faut.

Il s’inspire des figures aimées : Chaplin, Monsieur Hulot, les personnages de Sempé, Gaston et son art du ralentissement.

Il partage sa vie avec un chat, fabrique des avions en papier et s’émerveille des choses simples.
Un sourire, un rayon de lumière, une bague façonnée à la main.

À sa façon, Monsieur Monsieur porte en lui l’âme de MONSIEUR PARIS : un goût pour le beau discret, pour l’attention portée aux détails, pour les histoires qu’on se chuchote.
Il nous rappelle que la légèreté peut être profonde, et que l’élégance est souvent une affaire de regard.